De la conception à la présentation, une image (ou un texte entier) passe par au moins six étapes : la conception de l’image, la génération de l’image, l’assemblage de l’image, la préparation du support d’image, le transfert de l’image et la finition. L’avant-dernière étape, le transfert d’image, est le processus d’impression, c’est-à-dire le transfert de l’image sur du papier ou d’autres matériaux.

Le tableau d’ensemble

De la conception à la présentation, une image (ou un texte entier) passe par au moins six étapes : la conception de l’image, la génération de l’image, l’assemblage de l’image, la préparation du support d’image, le transfert de l’image et la finition. L’avant-dernière étape, le transfert d’image, est le processus d’impression, c’est-à-dire le transfert de l’image sur du papier ou d’autres matériaux.

Configuration de l’imprimante lithographique offset

La technologie d’impression contemporaine la plus courante est la lithographie offset. Ces presses peuvent être alimentées en feuilles, ce qui signifie qu’elles peuvent imprimer sur des feuilles individuelles de papier ou d’autres matériaux ; elles peuvent également être alimentées en bobines, ce qui signifie que de longues bandes de papier ou d’autres matériaux sont alimentées par la machine sur roues. Pour chaque couleur utilisée, une tour ou unité d’impression séparée est activée. Les presses peuvent avoir jusqu’à 12 tours : six impressions sur un côté du papier/matériel, et six impressions sur l’autre côté. Les quatre couleurs principales et les plus couramment utilisées sont le noir, le cyan, le magenta et le jaune.

Procédé de lithographie offset

Chaque tour a trois cylindres avec des surfaces un peu plus grandes que la surface du papier/matériau sur lequel on imprime. Ces cylindres tournent à la même vitesse pour se presser l’un contre l’autre. Les plaques lithographiques avec des images encrées (créées par les lasers) sont fixées aux cylindres porte-plaques de chaque tour. Lorsque la presse à imprimer est mise en marche, les cylindres commencent à rouler l’un contre l’autre. Le cylindre porte-plaque presse ensuite contre le cylindre porte-blanchet, ainsi nommé parce qu’une feuille mince et souple est enroulée autour du cylindre porte-plaque pour récupérer la moitié de l’encre du cylindre porte-plaque. Le cylindre porte-blanchet roule ensuite sur le papier fixé sur le cylindre d’impression. La moitié de l’encre du cylindre porte-blanchet va sur le papier (ou tout autre matériau recevant l’image). Au fur et à mesure que la machine continue à fonctionner, les cylindres continuent à rouler : plus d’encre est appliquée sur le cylindre porte-plaque, transférée sur le cylindre porte-blanchet, puis pressée sur le papier sur le cylindre d’impression.

Préhenseurs dans les presses à feuilles

Les feuilles individuelles sont maintenues par des pinces qui, alternativement, serrent et lâchent le papier (ou tout autre matériau) au fur et à mesure que le papier (ou tout autre matériau) passe à travers la presse. Chaque cylindre d’impression est muni de pinces pour maintenir le bord d’attaque de la feuille lorsque l’encre y est pressée par le cylindre porte-blanchet. D’autres jeux de pinces (pas sur un cylindre) transfèrent les feuilles d’un cylindre d’impression à l’autre. Un jeu de pinces tient toujours la feuille, et un autre jeu est toujours prêt à recevoir la feuille lorsque les pinces précédentes lâchent prise.

Ressources intéressantes : 1.

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