L’origine du violon remonte à l’Italie au XVIe siècle, mais l’inventeur est inconnu. Il est devenu une partie intégrante des orchestres au XVIIe siècle, et les compositeurs ont commencé à utiliser le violon comme instrument principal dans leurs compositions. Le son du violon est grandement influencé par la forme, l’ajustement et l’angle du chevalet. Le but d’un luthier est de faire un pont qui transmettra la plus grande vibration d’énergie des cordes au corps du violon.

Desserrer suffisamment les cordes pour soulever le chevalet. En gardant le chevalet vertical, poncez-le suffisamment pour que les pieds plats du chevalet correspondent à la partie supérieure incurvée du violon, ce qui empêchera toute perte de son. Gardez le côté abrasif du papier de verre vers le haut afin de ne pas poncer trop de bois. Il est recommandé, lors du ponçage, d’utiliser un mouvement circulaire.

Marquez la position correcte des cordes avec un crayon. Lorsque vous façonnez un nouveau pont, vous pouvez utiliser l’ancien comme modèle. Poncer le pont jusqu’à ce qu’il soit légèrement au-dessus du profilé. Cela peut prendre plus d’une fois pour l’amener à la hauteur désirée. À l’aide d’un couteau aiguisé, pressez des encoches en forme de V qui représentent environ la moitié de la profondeur des cordes. Cela empêchera tout mouvement latéral. Effacer les marques de crayon.

Poncez le profil du pont du côté le plus proche de la touche. Cela permettra à l’énergie sonore de passer des cordes au chevalet avec la tonalité appropriée. Un côté du pont repose sur le poteau de son et l’autre côté sur la barre de basse. Le côté aigu sert de pivot pour le reste du pont, et le pied de basse du pont a plus de mouvement, ce qui permet d’équilibrer le volume sonore.

Ressources : 1.

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