L’agression est la menace de violence à l’égard d’une victime, parfois avec l’utilisation d’une arme. Étant donné que les peines imposées peuvent varier considérablement d’un État à l’autre, le gouvernement a élaboré des lignes directrices en matière de détermination de la peine afin d’uniformiser davantage les peines pour des crimes semblables. Les lignes directrices créent des niveaux de base, qui peuvent être relevés en fonction des circonstances particulières de chaque crime. Les niveaux se traduisent ensuite par des périodes de temps appropriées que le délinquant devrait purger en prison.

Voies de fait

En droit criminel, une personne est coupable de voies de fait si elle menace de recourir à la force contre une autre personne et que cette menace fait craindre à la victime d’être blessée. Si une arme est utilisée pendant l’agression, ce qui fait craindre à la victime des blessures corporelles graves immédiates ou la mort, le crime est considéré comme des voies de fait graves.

Lignes directrices en matière de détermination de la peine

Le gouvernement fédéral a établi des lignes directrices en matière de détermination de la peine afin d’assurer une plus grande uniformité dans la détermination de la peine pour des crimes semblables. Les lignes directrices sont des normes visant à aider les juges à déterminer les peines. Les juges commencent par une peine de base et la peine peut être augmentée ou réduite en fonction de facteurs tels que les antécédents criminels du délinquant ou les circonstances particulières du crime en cause.

les États et les Lignes directrices fédérales sur la détermination de la peine

Les lignes directrices sont à la disposition des juges dans toutes les affaires fédérales et ont également été adoptées par 23 États et le district de Columbia. Certains des États qui ont adopté les lignes directrices en matière de détermination de la peine sont le New Jersey, la Pennsylvanie, la Caroline du Nord et du Sud, le Wisconsin, l’Utah, l’Oregon et Washington. Les autres États peuvent avoir leurs propres lignes directrices en place, tandis que d’autres ne disposent pas d’un tel outil pour aider leurs juges.

Pour compléter : 1, 2, 3, 4.

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