Une lettre d’appui est utilisée dans les procédures pénales par un juge pour l’aider à appliquer une peine justifiée à un accusé condamné. Les juges sont souvent mandatés par la loi pour appliquer certaines peines pour des crimes précis, mais les lignes directrices en matière de détermination de la peine se situent souvent dans des fourchettes. Par exemple, la peine pour cambriolage pourrait être de cinq à dix ans. L’objectif d’une lettre d’appui est de persuader le juge de pencher davantage vers les cinq années. Une lettre d’appui ne devrait pas discuter du bien-fondé de l’affaire, des éléments de preuve ou des poursuites contre le défendeur. Les lettres d’appui ne sont pas prises en considération lors d’un procès, mais seulement lors de l’audience de détermination de la peine.

Expliquez au juge les circonstances entourant votre relation avec l’accusé. Le juge doit savoir depuis combien de temps vous connaissez l’accusé et en quelle qualité. Il est dans l’intérêt du défendeur de demander des lettres d’appui à des personnes qui le connaissent depuis longtemps et qui sont donc qualifiées pour commenter sa moralité ou ses antécédents.

Détailler le caractère moral du défendeur dans le corps de la lettre. Donnez au juge des exemples de scénarios ou de circonstances dans lesquels le défendeur s’est comporté d’une manière exceptionnellement productive et positive. Reconnaissez que vous comprenez que le défendeur a commis une erreur, mais que vous pouvez donner de nombreux exemples de fois où le défendeur a pris la bonne décision et s’est montré digne de clémence.

Informez le juge de la façon dont vous pouvez aider l’accusé après le prononcé de la sentence. Le juge peut être intéressé à savoir si vous avez des moyens de soutenir ou d’aider le défendeur après sa libération. Expliquez comment vous allez travailler avec l’accusé pour changer sa vie après la détermination de la peine et l’aider à réintégrer la société et à redevenir un membre à part entière de la société.

Résumer toutes les raisons pour lesquelles le juge devrait exercer son pouvoir discrétionnaire en prononçant une peine clémente.

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