Il est déjà assez difficile de rompre sans les arrangements pratiques pour vivre, comme qui obtient la maison. Les droits que vous pourriez avoir en ce qui concerne la sortie de votre ex de la maison dépendent du statut juridique de votre relation et du type de maison dans laquelle vous vivez.

Logement loué

Si vous vivez dans un logement loué ou un logement social, le droit de continuer à vivre dans la propriété appartiendra à la personne dont le nom figure sur l’entente. Si vous êtes marié ou en partenariat civil, ou si vos deux noms figurent sur le contrat de location ou de location, vous avez tous les deux le droit de rester dans la maison et une ordonnance du tribunal serait nécessaire pour forcer l’une des parties à partir.

Propriété conjointe

Si vous possédez conjointement une propriété dans laquelle vous vivez tous les deux, la loi permet à chacun d’entre vous de continuer à vivre dans la propriété ou à l’utiliser également, sans permission ou permission de l’autre partie. Concrètement, cela signifie que même si votre ex déménage, il pourrait louer des pièces de la maison à une autre personne. Lorsqu’un propriétaire quitte la maison, il ne renonce à aucun droit sur la propriété à l’avenir. La seule façon pour l’une des parties de rester dans la propriété, tandis que l’autre part, c’est par le biais d’un accord financier convenu entre les deux parties. Chaque propriétaire est considéré comme ayant un droit égal sur la propriété si elle est cédée dans les deux noms, indépendamment de la contribution faite par chaque partie.

Propriété pure et simple

Si une partie est propriétaire d’une propriété, elle conserve le droit de vivre dans cette propriété et l’autre partie, avec un préavis raisonnable, doit déménager si on lui en fait la demande. Si l’ex ne part pas dans le délai raisonnable, vous pouvez changer les serrures et prendre des dispositions pour leur rendre leurs biens. Dans la plupart des cas, le fait d’être propriétaire d’un bien immobilier suffit légalement pour obliger une partie à quitter, mais dans certains cas, lorsque l’autre partie a contribué à l’hypothèque, au dépôt ou à la rénovation d’une maison, on peut dire qu’elle a un intérêt financier dans la propriété, même si elle n’est pas sur l’acte.

Complications

Les complications qui peuvent affecter les droits légaux fondamentaux en matière de propriété sont le mariage, les partenariats civils et les enfants. Dans toutes les situations compliquées, il faut demander l’avis d’un avocat. Des conseils supplémentaires sont également nécessaires dans les cas où la violence domestique est un problème. Votre bureau local de conseil aux citoyens peut également offrir gratuitement de l’aide et de la médiation pour résoudre des situations en cours pour les deux parties.

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