Le trouble bipolaire est une maladie mentale qui affecte non seulement le patient mais aussi ceux qui lui sont proches. Les personnes qui souffrent d’un trouble bipolaire peuvent présenter un comportement volatil et des phases dépressives et maniaques qui peuvent mettre à rude épreuve les relations avec la famille et les amis. Il est important de faire preuve de sensibilité à l’égard des personnes qui reçoivent un diagnostic de ce trouble de l’humeur difficile.

Communiquez honnêtement avec une personne atteinte d’un trouble bipolaire. Demandez comment vous pouvez l’aider et demandez-lui de vous répondre avec la même honnêteté. Rappelez-vous aussi que lorsque les gens éprouvent des sautes d’humeur bipolaires, ils peuvent dire ou faire des choses qu’ils ne veulent pas vraiment dire, car c’est la maladie mentale qui les contrôle.

Acceptez que votre ami, collègue ou membre de la famille est mentalement malade plutôt que de le nier ou d’essayer de le cacher. L’ouverture est essentielle pour s’assurer que la maladie est traitée et gérée correctement.

Encouragez la personne bipolaire à prendre ses médicaments tels que prescrits et à chercher une thérapie pour le trouble. Maintenir une attitude positive qui n’emploie pas de menaces ou de harcèlement incessant. Si vous vivez avec une personne bipolaire qui résiste au traitement, vous pouvez choisir de décrire les conséquences possibles de ce choix, ce qui peut inclure un changement de résidence.

Joignez-vous à un groupe de soutien pour les amis et la famille des personnes atteintes de maladie mentale. Discutez de vos expériences et écoutez les préoccupations des autres dans des situations similaires. Faites savoir à votre proche malade mental que vous participez à des groupes de soutien pour souligner votre engagement envers son bien-être.

Demandez-vous si une humeur particulière ou une mesure prise par la personne malade est un symptôme de sa maladie mentale pour justifier la façon dont vous la traitez. Par exemple, il est important d’éviter de réagir de façon excessive à l’humeur irritable à court terme de votre proche ou de supposer immédiatement que son médicament ne fonctionne pas.

Adopter une position ferme contre les comportements violents. Cela comprend l’automutilation, la violence envers les autres et toute destruction de biens. Informez votre proche des conséquences d’un comportement violent.

Demeurer conscient des signes avant-coureurs potentiels d’un comportement suicidaire, comme le retrait, le manque d’intérêt pour des activités qui étaient autrefois appréciées, le don de biens personnels, les discussions sur la mort et les menaces de suicide.

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