A l’ère de la mondialisation, les multinationales sont de plus en plus nombreuses et les opinions sur leur présence ne manquent pas. Certains les accueillent car ils peuvent être bons pour l’économie, les consommateurs et le capitalisme. Cependant, ils ont un côté négatif car ils ne sont pas toujours aussi bons pour l’économie qu’ils n’en ont l’air au départ.

Externalisation

Les périls de l’impartition sont bien documentés, car elle a entraîné d’importantes pertes d’emplois aux É.-U. Cependant, il y a aussi un autre impact négatif. La présence d’entreprises multinationales dans d’autres pays ne profite souvent pas à l’économie de ces pays, car la pauvreté continue d’augmenter malgré les emplois supplémentaires qui ne sont pas aussi bien rémunérés. De plus, les multinationales ne sont pas soumises aux mêmes lois environnementales et du travail que chez elles.

Lacunes en matière de développement

L’écart de développement entre les très riches et les très pauvres continue de se creuser dans les pays étrangers où les multinationales font des affaires. Cela s’explique en grande partie par le fait que le capitalisme, par le biais du commerce extérieur, tend à exploiter les pays moins développés. Les multinationales vantent souvent les avantages globaux de leur présence, mais il n’en demeure pas moins que le fossé entre riches et pauvres ne s’est pas comblé.

Impact sur l’environnement

Les multinationales ont la réputation de laisser une grande empreinte carbone lorsqu’elles entrent dans d’autres pays dont la réglementation environnementale est moins stricte. Ce mépris de l’environnement, qu’il s’agisse des émissions de gaz à effet de serre ou de la pollution des habitats naturels, a un impact négatif important sur le coût des affaires. De plus, la conduite d’opérations à l’échelle mondiale consomme des ressources telles que l’énergie et les combustibles fossiles.

Petite entreprise

Les petites entreprises luttent souvent dans l’ombre des multinationales. Au mieux, ils sont capables de survivre à la concurrence, ou ils pourraient être rachetés. S’ils déclinent, ils courent le risque de faire faillite, ce qui peut arriver trop souvent, car les multinationales sont en mesure d’offrir des volumes d’affaires élevés et des rabais que les petites entreprises ne peuvent égaler. Les clients peuvent vouloir soutenir les entreprises locales, mais le prix l’emporte souvent sur le sentiment.

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