Les belles filles ont longtemps poussé les hommes à la poésie pour tenter de les décrire avec des mots. Parce qu’une grande partie de la poésie traite de descriptions, un large éventail de dispositifs poétiques sont parfaits pour décrire la beauté féminine. Lorsqu’ils sont correctement combinés, ils peuvent créer une image verbale richement viscérale d’une jolie fille.

Dénotation et Connotation

Plus la description est courte, plus chaque mot est important — et lorsque vous essayez de résumer la beauté d’une fille en un seul mot, il est impératif de trouver le mot parfait. Le mot « beau » a de nombreux synonymes, la plupart partageant la même dénotation, ou signification de base. Leurs connotations, cependant, ou distinctions subtiles et nuances de sens, varient considérablement. Le mot « magnifique » implique la somptuosité, par exemple, tandis que « ravissant » implique une sorte d’enchantement sexuel.

Métaphore et Simile

Une façon de décrire une belle femme est de la comparer à quelque chose d’autre. Les comparaisons avec la beauté de la nature prédominent depuis longtemps, comme l’illustre William Shakespeare dans son 18e sonnet, qui commence par « Dois-je te comparer à un jour d’été ? Simile dit qu’elle est comme quelque chose, tandis que la métaphore saute sur le langage intermédiaire et déclare simplement qu’elle est la chose décrite.

Synecdoche

Synecdoche est un terme poétique pour traiter une partie comme s’il s’agissait d’un tout, en prêtant attention à un détail spécifique plutôt qu’à des généralités. Plutôt que d’essayer de décrire toute sa beauté, limitez-vous à ses yeux ou à ses lèvres. Une telle description peut et devrait inclure d’autres dispositifs poétiques, comme la métaphore et la surestimation.

Surestimation

L’exagération, aussi connue sous le nom d’hyperbole, exagère quelque chose pour mettre l’accent — dans ce cas, votre description de la beauté de la fille. Embellir votre représentation peut aider le lecteur à imaginer ce qu’elle est, et si elle est bien faite, elle sera reconnue comme une exagération et non comme une tromperie. Attention toutefois à ne pas aller trop loin. Le 130e sonnet de Shakespeare se moque des poètes qui exagèrent sans savoir faire, avec les lignes suivantes :

« J’aime l’entendre parler, mais je sais bien que je sais.

Cette musique a un son beaucoup plus agréable ;

J’admets que je n’ai jamais vu une déesse partir ;

« Ma maîtresse, quand elle marche, marche sur le sol. »

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