Un centre de détention pour mineurs est un établissement résidentiel qui résulte du fait qu’un jeune est déclaré coupable d’une infraction et qui peut également se produire après une arrestation ou au cours d’une procédure judiciaire. Dans certains cas, l’affaire peut être renvoyée devant un tribunal pénal, même si ce n’est que dans quelques cas.

Âge moyen des mineurs dans les centres de détention

Selon le Bureau de la justice pour mineurs et de la prévention de la délinquance juvénile (OJJDP), la population des délinquants juvéniles comprend 85 % de courriers et 15 % de femmes. L’âge moyen des délinquants primaires est de 15,2 ans et ils sont habituellement entrés dans le système avant l’âge de 14 ans. L’âge moyen des jeunes délinquants violents est de 15,8 ans.

Infractions non violentes

Soixante-quatre pour cent de la population juvénile dans les centres de détention est là pour les infractions non violentes. Les hommes constituaient la majorité de cette population (86,1 %) et les délinquantes (13,9 %), selon l’OJJDP.

Infractions violentes

Trente-six pour cent de la population juvénile dans les centres de détention est là pour les infractions violentes. Les hommes constituaient 87,5 % de ces délinquants et les femmes 12,5 %, selon l’OJJDP. La plupart des établissements contiennent un mélange de délinquants violents et non violents.

Détenus vs. Engagé

Les délinquants détenus sont ceux qui sont en attente d’un jugement, d’une décision ou d’un placement ailleurs. Les auteurs d’infractions commises sont ceux qui ont été détenus en vertu d’une ordonnance d’un tribunal. Certains de ces délinquants ne sont pas détenus par des mineurs, mais par des tribunaux pénaux. Trente-quatre pour cent des délinquants condamnés et moins de 4 pour cent des délinquants détenus restent en détention six mois après leur admission. En moyenne, les délinquants restent 147 jours après leur admission, selon l’OJJDP.

Inconvénients de l’arrangement

Le système de justice pour mineurs se charge d’une très grande tâche lorsqu’il s’agit d’admettre un jeune dans un établissement résidentiel. Il doit fournir des soins de santé mentale, l’abus de substances, l’éducation, la santé dentaire, la santé médicale et d’autres facteurs divers. De plus, cette situation brise les familles, les routines, l’éducation régulière et interrompt la vie normale des jeunes.

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