Les surdoses de drogues sont des expériences traumatisantes pour les individus, leurs familles et ceux qui les aiment. Les surdoses de médicaments peuvent causer des effets neurologiques qui peuvent durer des heures, des jours, des mois ou rester en place de façon permanente. Les handicaps neurologiques peuvent nécessiter qu’une personne réapprenne de nombreuses tâches de la vie, et peuvent nécessiter des soins médicaux tout au long de sa vie.

Somnolence ou sédation

L’un des effets neurologiques les plus légers d’une surdose de médicament, la sédation est causée par un médicament qui atteint la circulation sanguine et se dirige vers le cerveau. La somnolence est habituellement un effet temporaire et s’estompe en quelques heures. Après que la somnolence se soit dissipée, d’autres effets neurologiques peuvent être observés.

Confusion et changements de personnalité

Les personnes qui ont fait une surdose de drogues sont souvent confondues, avec des troubles de la parole, des problèmes de mémoire et de désorientation. Les personnes qui ont fait une surdose de drogue peuvent avoir de la difficulté à formuler leurs pensées, à communiquer leurs désirs ou leurs besoins, et avoir des changements d’humeur ou de personnalité importants. Ces effets sont habituellement quelque peu temporaires, avec des changements d’humeur et de personnalité qui durent plusieurs heures. Les problèmes de mémoire peuvent gêner la personne pendant des semaines ou des mois après la surdose.

Hallucinations

Les hallucinations sont des effets neurologiques à courte durée d’action d’une surdose de médicament. Ils ne durent souvent que quelques heures et ne sont pas permanents. Les hallucinations sont le résultat direct de la drogue, et bien qu’elles puissent causer des images effrayantes pour l’individu, il ne s’agit pas d’un effet permanent ou de longue durée.

Coma

Le coma ou un état végétatif persistant peut se produire avec une surdose d’opiacés, de médicaments sur ordonnance et de drogues de la rue. Selon le type de drogue – par exemple, opiacés, narcotiques ou amphétamines – un coma peut durer des heures ou des jours. Les médecins peuvent choisir de mettre les patients dans un coma d’origine médicale s’ils estiment que le patient ne peut pas supporter la stimulation.

Mouvement et coordination

Le mouvement et la coordination peuvent être affectés si la section extrapyramidale du cerveau est endommagée par la surdose de médicament. Si elle est endommagée, une personne qui a fait une surdose peut avoir des contractions musculaires involontaires, des tremblements, des tremblements, des tremblements des mains, une rigidité musculaire, de la bave et une paralysie faciale. Les troubles du mouvement peuvent durer des jours ou des semaines, ou même nuire à l’individu pour le reste de sa vie.

Mouvement des yeux

La partie ophtalmologique du cerveau contrôle le mouvement des yeux, et une surdose de médicament peut affaiblir les muscles oculaires. Les muscles oculaires peuvent ne pas travailler ensemble, créant ainsi un œil paresseux ; de plus, une double vision peut se produire, et les paupières peuvent être affectées par la chute ou le fait de ne pas se fermer sur commande. Ces effets peuvent être de longue durée (plusieurs mois ou années) ou être de relativement courte durée (de quelques jours à quelques semaines) pendant la période de récupération aiguë de la surdose.

Dommages cérébraux

Les lésions cérébrales peuvent être causées par un gonflement du cerveau, une diminution de l’apport sanguin au cerveau, une rupture des vaisseaux sanguins ou un accident vasculaire cérébral causé par un médicament. Les lésions cérébrales sont souvent permanentes et les effets se manifestent tout au long de la vie d’une personne. Les lésions cérébrales peuvent causer des problèmes de mémoire à court ou à long terme, des problèmes d’attention, des difficultés à apprendre de nouvelles actions et des changements de personnalité.

Saisies

Les surdoses de drogues peuvent causer un court-circuit dans le cerveau, ce qui crée une activité semblable à une crise d’épilepsie. Les crises ne peuvent survenir que pendant la phase aiguë d’une surdose de drogue, mais si elles durent pendant les jours et les semaines suivant la surdose, les médecins ont la capacité de prescrire des médicaments et de prévenir d’autres crises.

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