Les pins se reproduisent en produisant des graines. Contrairement aux arbres à feuilles caduques, qui produisent des graines entourées de fruits, les graines de pin sont situées sur des écailles de structures appelées cônes (pommes de pin). Les pins possèdent des structures reproductrices mâles et femelles, ou cônes. Les cônes mâle et femelle sont sur le même arbre. Généralement, les cônes mâles qui produisent du pollen sont situés sur les branches inférieures de l’arbre. Ceci afin d’éviter que le pollen ne tombe sur les cônes femelles d’un même arbre et, par conséquent, favorise la fertilisation avec d’autres pins, ce qui augmente la variation génétique entre les arbres. Les cônes mâles, aussi connus sous le nom de chatons, ne sont présents qu’au printemps de l’année où ils produisent du pollen. Ils ne ressemblent pas aux pommes de pin que beaucoup connaissent bien, mais ce sont de longues structures minces, souples et situées en grappes sur les branches.

Pommes de pin

Les pins se reproduisent en produisant des graines. Contrairement aux arbres à feuilles caduques, qui produisent des graines entourées de fruits, les graines de pin sont situées sur des écailles de structures appelées cônes (pommes de pin). Les pins possèdent des structures reproductrices mâles et femelles, ou cônes. Les cônes mâle et femelle sont sur le même arbre. Généralement, les cônes mâles qui produisent du pollen sont situés sur les branches inférieures de l’arbre. Ceci afin d’éviter que le pollen ne tombe sur les cônes femelles d’un même arbre et, par conséquent, favorise la fertilisation avec d’autres pins, ce qui augmente la variation génétique entre les arbres. Les cônes mâles, aussi connus sous le nom de chatons, ne sont présents qu’au printemps de l’année où ils produisent du pollen. Ils ne ressemblent pas aux pommes de pin que beaucoup connaissent bien, mais ce sont de longues structures minces, souples et situées en grappes sur les branches.

Fertilisation

Le pollen est produit par le cône mâle. Un grain de pollen de pin contient l’information génétique du pin auquel il est suspendu. Chaque grain de pollen est équipé de deux petites structures en forme d’ailes qui aident le pollen à s’élever dans l’air et favorisent une large distribution. Le grain de pollen trouve alors son chemin vers un cône femelle réceptif, qui semble solide et dur. Une fois que le pollen atterrit sur le cône, il pousse dans un long tube mince au centre du cône où se trouve l’œuf. Là, l’information génétique dans le grain de pollen est combinée avec l’information génétique dans l’ovule, et un embryon fécondé en résulte. Au fil du temps (généralement environ deux ans), l’embryon se transforme en graine et le cône devient brun et développe des écailles. C’est à cette époque que la pomme de pin ressemble aux cônes familiers qui jonchent le sol de la forêt. Si l’une des écailles de la pomme de pin est arrachée, on peut voir une graine mature à la base. Si elle est plantée, cette graine deviendra un pin.

Dispersion des semences

Parce que les plantes sont immobiles, il est important qu’elles aient des moyens de disperser leur pollen et leurs graines loin de la plante mère pour minimiser la consanguinité. Le pollen ailé que possèdent les pins aide à cette dispersion. Divers animaux tels que les écureuils et les geais mangent couramment des graines de pin et les dispersent. Les noix de pin (graines) sont également en train de devenir une grande partie de la cuisine humaine (bien que les humains ne dispersent pas ces graines, évidemment). Comme les animaux ne mangent pas toutes les espèces de pommes de pin, certaines espèces ont mis au point des moyens uniques pour prévenir la consanguinité. Certains cônes de pin restent fermés hermétiquement jusqu’à ce qu’ils atteignent une température extrêmement élevée, comme ce serait le cas lors d’un feu de forêt. Ce n’est que lorsque ces cônes sont chauffés qu’ils libèrent leurs graines, ce qui correspond à la mort probable de la plante mère dans le feu.

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