Les espèces deviennent en voie de disparition lorsque leur nombre diminue dans la nature. La destruction de leur habitat, leur chasse et le commerce illégal d’animaux ou de leurs parties contribuent tous à l’extinction d’espèces en voie de disparition. De nombreuses organisations dans le monde entier travaillent sans but lucratif pour protéger les espèces vulnérables de l’extinction.

Fonds international pour la protection des animaux (IFAW)

La lutte contre le commerce illégal d’espèces sauvages et l’élaboration de campagnes de protection des baleines, des éléphants et d’autres espèces menacées sont quelques-uns des objectifs du Fonds international pour la protection des animaux, IFAW, une organisation caritative internationale dont le siège social se trouve aux États-Unis. Avec 1,2 million de sympathisants dans le monde, IFAW engage les communautés, les chefs de gouvernement et les organisations du monde entier dans la lutte pour la protection des espèces en voie de disparition. Dans l’ensemble, la mission de l’organisme de bienfaisance est de créer un monde meilleur pour les animaux.

People’s Trust for Endangered Species (PTES)

Fondé en Grande-Bretagne en 1977, le People’s Trust for Endangered Species (PTES) a contribué à la protection des espèces en voie de disparition au Royaume-Uni et dans le monde entier. Les projets concernent la protection des espèces locales de coléoptères, comme le cerf, le hanneton noble et le coléoptère violet, ainsi que des dortoirs, des haies, des loutres et autres mammifères, dont le nombre a diminué en raison de la perte de leur habitat. PTES possède et gère deux réserves naturelles en Grande-Bretagne, avec d’anciennes forêts semi-naturelles qui abritent des écureuils roux et des chauves-souris rares.

Fondation pour la faune africaine (AWF)

Depuis les années 1960, l’African Wildlife Foundation (AWF) a contribué à assurer la survie de certaines espèces menacées d’Afrique, comme l’éléphant, le gorille de montagne, le rhinocéros et le lion. La FAE travaille en étroite collaboration avec les communautés africaines pour protéger les stocks de poissons locaux, qui peuvent également être menacés par la pratique de la surpêche. L’association forme également des gardes forestiers, apprend aux caféiculteurs à cultiver le café dans le respect de l’environnement et sensibilise les écoliers locaux à l’importance de la faune et de la flore sauvages.

Renctas

Renctas, ou le Réseau brésilien de lutte contre le trafic d’animaux sauvages, travaille depuis 1999 à la protection des espèces en danger au Brésil. En 2001, l’association a publié le premier rapport national sur le trafic d’animaux sauvages, qui expose les principales voies de circulation et les actions des trafiquants. Selon M. Renctas, le commerce illégal d’espèces sauvages est la troisième activité illicite la plus importante au monde, après le trafic d’armes et de drogues. Les collectionneurs internationaux recherchent des espèces rares et menacées, comme la jacinthe et les aras d’apprentissage, qui peuvent coûter des milliers de dollars sur le marché noir. Les États-Unis sont le plus grand consommateur d’animaux sauvages au monde, suivis de l’Europe et de l’Asie, rapporte M. Renctas.

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