L’économie mondiale est appelée à décliner pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale. Les économistes se sont engagés dans un débat animé sur les avantages et les pièges du libre-échange et du protectionnisme. De nombreuses économies ont adopté une politique de libre-échange ou une économie dans laquelle les droits de douane et les barrières commerciales ont été levés. permettre la libre circulation des échanges commerciaux entre un ou plusieurs pays. Le protectionnisme se réfère aux politiques dans lesquelles les pays limitent les importations et les exportations.

Protectionnisme

Les gouvernements ont recours à des politiques économiques protectionnistes pour restreindre les importations et les exportations. Le protectionnisme aide à protéger les pays contre une augmentation des importations, ce qui pourrait affecter la production nationale. Selon l’Université d’État de Humboldt, l’une des politiques protectionnistes les plus courantes consiste à augmenter le prix des importations par le biais de tarifs douaniers, ce qui permet à l’industrie du pays d’être plus compétitive sur le marché intérieur. Le protectionnisme peut également inclure les quotas d’importation ou les restrictions sur la quantité d’importations autorisées à entrer dans un pays.

Libre-échange

Le libre-échange, par contre, lève les barrières pour permettre la libre circulation des échanges entre deux ou plusieurs pays. Les accords commerciaux peuvent favoriser la croissance économique en augmentant les échanges commerciaux d’un pays. Le libre-échange ouvre des marchés et des possibilités économiques. Le libre-échange permet une concurrence loyale et une réglementation non discriminatoire, selon le Bureau du représentant commercial des États-Unis.

Accords de libre-échange

Les accords de libre-échange éliminent progressivement les obstacles au commerce entre deux pays ou entre un groupe de pays. Les États-Unis ont conclu de nombreux accords bilatéraux et multilatéraux de libre-échange, une composante majeure de la politique commerciale des États-Unis au cours des dernières années, selon le Government Accountability Office. Les principaux accords commerciaux comprennent l’Accord de libre-échange nord-américain et les accords de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

Nouvelle tendance protectionniste

Les pays membres de l’Organisation mondiale du commerce ont reconsidéré leurs politiques protectionnistes. L’OMC n’a pas de lois ou de règles interdisant aux banques de ne prêter que sur leur propre marché intérieur, ce qui pourrait conduire les institutions financières basées dans d’autres pays à retirer leurs investissements, rapporte le Washington Post. L’Organisation mondiale du commerce a déclaré que le protectionnisme pourrait prolonger la récession économique mondiale actuelle, selon le Post. Depuis 2008, un certain nombre de pays ont augmenté les tarifs douaniers, appliqué des restrictions à l’importation et rétabli les subventions. En outre, certains pays ont imposé le protectionnisme financier, obligeant les institutions financières basées dans leur pays à investir dans des sociétés nationales.

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