Une entente de règlement de séparation de biens règle autant de questions relatives à la dissolution d’un mariage que les parties peuvent en convenir. L’accord est un contrat entre un couple marié qui est légalement séparé mais qui n’est pas encore totalement divorcé. Lorsqu’elle est signée par les deux parties, elle est pleinement signée et prend effet. Une version entièrement signée de l’Entente de règlement immobilier fera partie du Décret définitif de divorce. Les dispositions de l’entente sont valides indéfiniment, à moins que les deux parties ne conviennent de modifier les modalités.

Structure

L’entente de règlement des biens comprendra les noms des parties et la stipulation qu’elles ont vécu séparément et à l’écart d’une date précise. L’entente énoncera les détails des conditions convenues. Elle doit être signée, datée et notariée.

Sujets

Une entente de règlement immobilier devrait inclure tous les sujets sur lesquels les parties se sont entendues et des précisions sur la façon dont ces sujets ont été réglés. Les sujets devraient inclure la garde des enfants et les droits de visite, la pension alimentaire pour époux, l’assurance médicale, les meubles et effets personnels, les biens personnels, les régimes de retraite et les régimes 401K, et les biens immobiliers.

Libre de toute interférence

L’accord peut également contenir une disposition stipulant que chaque partie  » sera libre de toute ingérence, autorité ou contrôle de l’autre partie comme si chacune d’entre elles n’était pas mariée  » (Legal Services of Northern Virginia : Property Settlement Agreement). Cela signifie que les parties sont libres de faire ce qu’elles veulent, sans avoir à se consulter. Cela comprend les entreprises commerciales, les résidences et les associés. Elle peut également indiquer explicitement que les parties ne peuvent pas se harceler mutuellement à leur résidence, à leur lieu de travail ou ailleurs.

Renonciation aux intérêts

Les parties peuvent également convenir de renoncer à tout intérêt dans des biens qui n’est pas expressément prévu dans l’entente et à tout intérêt dans la succession de l’autre partie. En général, si le conjoint décède, la succession revient au conjoint survivant. Dans le cas d’un couple légalement séparé mais non divorcé, sans une telle disposition, la succession reviendrait quand même au conjoint survivant. Cette renonciation empêche que cela se produise.

Il devrait également y avoir une disposition qui libère chaque partie de sa responsabilité future à l’égard des dettes ou obligations contractées par l’autre partie.

Application de la loi

L’entente peut également comprendre une disposition qui stipule que si une partie viole l’entente, l’autre partie peut demander un recours juridique et la partie contrevenante sera responsable de tous les frais juridiques associés à l’exécution. L’accord devrait préciser la loi applicable de l’accord pour l’État où il est exécuté.

Modification

L’entente devrait préciser que toute modification à l’entente doit être faite par écrit et signée par les deux parties à l’entente. L’accord devrait également indiquer qu’il est conclu étant entendu que les deux parties ont divulgué tous les biens et intérêts.

Incorporation dans le divorce

L’entente devrait comprendre une disposition stipulant que l’entente sera présentée à la Cour au cours de la procédure de divorce et sera incorporée dans le décret final de divorce.

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