Étant donné que la violence domestique cause souvent des craintes, des préjudices et des dommages à long terme aux victimes, le gouvernement fédéral et les gouvernements des États adoptent des lois pour prévenir l’acte et punir les contrevenants condamnés. Ces lois sont révisées régulièrement afin de décourager le crime et de punir de façon plus agressive les personnes qui commettent l’acte.

Contexte du droit fédéral

La loi fédérale moderne concernant l’interdiction et la répression de la violence domestique a été codifiée dans le cadre de la loi sur la violence contre les femmes de 1994 (VAWA). La loi a été ré-autorisée en 2005. Cette loi fédérale a renforcé les ressources pour poursuivre en justice les auteurs d’actes de violence familiale qui ont été spécifiquement accusés d’avoir causé du tort aux femmes. La loi a également renforcé l’application de la loi et les ressources juridiques pour détenir et détenir des suspects ayant des antécédents de préjudices domestiques. La Cour suprême a réduit la portée de cette loi afin d’éliminer les sanctions civiles incluses en 2000, mais les lois pénales ont été conservées.

Présence fédérale actuelle

Le ministère de la Justice des États-Unis maintient une présence gouvernementale qui guide la poursuite de la violence domestique. Le ministère de la Justice a créé son Bureau sur la violence faite aux femmes et continue de surveiller les programmes de subventions. Le bureau fait la promotion de la politique fédérale sur la façon d’aborder la violence familiale et les questions connexes comme le viol par une connaissance, les voies de fait et les harceleurs.

Lois et détermination de la peine

Les questions de violence domestique sont généralement poursuivies au niveau de l’État, de sorte que les règles de détermination de la peine de l’État dictent les peines correspondantes. Dans la plupart des États, la détermination de la peine dépend de la question de savoir si l’auteur a été arrêté pour la première fois ou après plusieurs condamnations antérieures pour des crimes liés à la violence domestique. La détermination de la peine varie également selon le degré de politisation de la question de la violence familiale au sein de l’assemblée législative de l’État.

Un contrevenant qui en est à sa première infraction se voit habituellement imposer une période de probation de deux à trois ans sous la surveillance du tribunal ou du service de police local. Les services communautaires et les cours de réadaptation pour la gestion de la colère sont également courants.

Pour approfondir : 1, 2.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.