La plupart des livreurs de journaux qui exploitent des routes motorisées travaillent comme entrepreneurs indépendants, trois ou quatre heures par jour, 365 jours par an. Ceux qui occupent des postes de livraison à pied investissent normalement une à deux heures par jour sur le même horaire 365 jours par an. Étant donné que la majorité des emplois de livraison de journaux se font tôt le matin, les transporteurs peuvent poursuivre d’autres intérêts ou d’autres emplois avec le reste de la journée.

Rémunération

Le montant de l’indemnisation des emplois dans le secteur des médias varie considérablement. Des publicités paraissent régulièrement dans les journaux à travers le pays, citant des montants de revenus mensuels allant de €68 pour une route de 32 nouveaux journaux, une route de livraison de porche qui nécessite environ 45 minutes par jour, à €650 par mois pour une route motorisée qui nécessite quatre heures tous les matins et couvre 96 kilomètres de routes de campagne à deux voies. L’emplacement est une variable importante lorsqu’on considère les salaires pour les emplois de livraison de journaux. Par exemple, selon l’échelle salariale, à partir de janvier 2011, un livreur de New York peut s’attendre à recevoir un salaire annuel moyen, avant dépenses, de 27 786 € ; à Columbus, en Ohio, ce chiffre tombe à 11 779 € ; et à Portland, en Oregon, le revenu médian avant dépenses est de 14 832 €.

Description du poste

Un livreur de journaux est tenu de livrer un produit lisible à l’abonné dans un délai fixé par le directeur du service de diffusion des journaux. Les transporteurs peuvent également être tenus d’augmenter la circulation sur la route contractée. Dans les journaux où le service du tirage ne facture pas les clients pour leurs abonnements, un transporteur paie le journal pour le produit qu’ils tirent, puis facture et perçoit le paiement de ses clients. Les livreurs de journaux en vrac ramassent les journaux à l’imprimerie et les transportent jusqu’aux sites de livraison à domicile. Les transporteurs de livraison à domicile et les vraquiers peuvent également stocker des magasins et des présentoirs à journaux.

Équipement et compétences

Un transporteur de journaux doit posséder un véhicule fiable, posséder un permis de conduire valide et avoir une assurance automobile d’un montant spécifié dans le contrat qu’il signe avec le journal. Comme la plupart des journaux vérifient le dossier du service de conduite des véhicules automobiles, un bon dossier de conduite peut être le facteur déterminant dans l’obtention d’un itinéraire. Le transporteur devrait avoir une compréhension de base des techniques de tenue de dossiers pour faire le suivi des abonnements, des paiements, des kilomètres parcourus et du coût des réparations et du carburant.

Avantages

À moins que le transporteur ne livre pour une entreprise qui classe un transporteur comme un employé, ce qui est l’exception plutôt que la règle, il n’y a pas d’avantages pour le transporteur de journaux. Si le transporteur est considéré comme un employé, les avantages peuvent être limités ou inexistants en raison des heures à temps partiel requises pour compléter le trajet assigné.

Impôts et taxes

En tant qu’entrepreneur indépendant, les transporteurs sont responsables du paiement de l’impôt sur le travail indépendant. En 2010, l’impôt sur le travail indépendant s’élevait à 15.3 pour cent. Avec l’adoption de l’American Recovery and Reinvestment Act de 2009, le pourcentage a chuté à 13,3 % en 2011. Les travailleurs autonomes doivent produire l’annexe C, Bénéfices ou pertes provenant d’une entreprise, et l’annexe SE, Impôt sur le travail autonome, ainsi que le formulaire 1040.

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